The Dead Flag Blues

Quand tu trouve des écrits, d’une personne qui décrits l’humanité telle qu’il l’a trouvé, et puis qu’il dit vaguement,  Et pas qu’une fois, que la femme est comme une «chienne qui réponds à des stimulus de cerveaux »,  qu’elles sont les fruits de la sélection naturelle.

disons que.. ça titille le cerveau.

Et j’y retourne à ce qu’il dit. le gars fait des vidéos intéressantes. Puis la dedans, il glisse  une petite phrase qui complémente sa pensée du jour. Et une autre dans un autre vidéo. Ou d’une autre palabre. bref. Il dit: Les femmes sont des putes qui te suce le sang.

Ce qui m’énerve, c’est que le gars, il ne parle pas des femmes vraiment. Son sujet, c’est la civilisation, la stupidité ambiante, le manque de rationalité, le manque d’éducation, la montée de la société de consommation… Pourtant, et c’est triste, ce gars la qui est plein de sens sur notre société  nous rappelle tout en passant: les femmes, en suivant la sélection naturelle, on été développées, un peut comme des chiens,  de générations en générations, à devenir meilleur possible. à devenir comme il faut. Et elles veulent les meilleurs hommes possibles. Il faut pas se laisser avoir par ces bêtes, il dit presque.

Y a des intellectuels (autoproclamés) qu’y y croient. Les femmes sont des sorcières, même au grandes strates. Elle sont, oui, éduquées. Compétentes, oui, capables, mais seulement à bout d’études, seulement car elles n’ont pas de conscience. Elles sucent et elles prennent.

 

Pourquoi «The Dead Flag Blues» comme titre? Premièrement, parce qu’il y a «dead» dedans. Deuxièmement, ça viens de cette lamentation.

en écrit:

«The car is on fire, and there’s no driver at the wheel
And the sewers are all muddied with a thousand lonely suicides
And a dark wind blows

The government is corrupt
And we’re on so many drugs
With the radio on and the curtains drawn

We’re trapped in the belly of this horrible machine
And the machine is bleeding to death

The sun has fallen down
And the billboards are all leering
And the flags are all dead at the top of their poles

It went like this:

The buildings toppled in on themselves
Mothers clutching babies
Picked through the rubble
And pulled out their hair

The skyline was beautiful on fire
All twisted metal stretching upwards
Everything washed in a thin orange haze

I said, “Kiss me, you’re beautiful –
These are truly the last days”

You grabbed my hand
And we fell into it
Like a daydream
Or a fever

We woke up one morning and fell a little further down
For sure it’s the valley of death

I open up my wallet
And it’s full of blood»

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